J'enrage...j'enrage
J'enrage, j'enrage...Je terminais un long article avec photo et souvenirs de Félicie quand pour une raison totalement inconnue, tout a disparu dans le monde virtuel d'internet....Je n'avais pas encore fait de copie. Je viens de perdre près d'une heure de travail. Et je ne me sens pas le courage de tout recommencer maintenant.
Voila donc seulement les photos que j'ai fait cet après midi au cours d'une longue promenade avec mon chien.
J'ai imaginé que son duvet pourrait servir aux joues des dames ou aux fesses des bébés. Quoi? Qui a dit "le contraire!!!"
J'y ajoute un souvenir de Félicie.. mais j'enrage.. j'enrage.
Salut mon petit Michel. Hier je suis tombé sur un carton de vieilles photos de notre cher MARRAKECH où tu es avec tes parents, tes frères et Albert quelques jours avant notre départ du Maroc. Vous étiez encore des minots.
Dimanche après midi j'ai passé près de deux heures à te narrer les souvenirs d' IGHERM chez la Mémée DROIN. T'en souviens-tu? C'était après la mine d'IMILI je crois que c'est ce nom. A l'allez comme au retour du Sud ou se rendaient ton Père et Armand quand ils allaient en dépannage dans le secteur jusqu'au MAHMID. A quelques km de là il avait le dispensaire créé par le Père Norbert et le Frère Denis. Deux bons vivants qui aimaient l'entendre raconter ses histoires. Le pére Norbert était l'ancien curé de l'Eglise Notre Dame de la Médina à Riad Zitoun Djid près de la Province où officiaient ton père et Armand sous la directive de Mr TOURNANT, le Papa d'Annie.
Au prochain épisode , je te parlerai des fermetures portes en Médina .
Puisque je suis reparti, je vais vous recopier la suite des souvenirs de Félicie que je remercie encore pour son courage et sa gentillesse à nous faire partager ces tranches de vie, de nos vies.
Mon petit Michel , je reprends la plume, pardon le clavier.
Hier je faisais allusion aux portes fermées à RIAD ZITOUN KEDIM débouchant sur la place Djma el fna à RIAD ZITOUN DJDID, à Bab DOUKALA, à BAB KEMIS, enfin disons les 7 portes de MARRAKECH ainsi que les portes du MELLAH. Cela se passait avant la guerre de 39 /45 ,ce qui va suivre se passait l'été 38, nous revenions du cinéma ......
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS pardon pour cet espace, mais un des minets vient de sauter sur le clavier SSSSSSSsSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS
L'intermède du chat se promenant sur le clavier me réjouit...
EDEN en MEDINA c'était en plein air, jétais à moitié endormie sur l'épaule de PAPA qui discutait avec EL HADJ TAMIS EL GLAOUI son ami de longue date, lorsqu'une déflagration me faisait sursauter. C'était les MOGHAZNIS qui avertissaient les retardataires qu'il était temps de rentrer avant la fermeture des portes à minuit. Ceux qui loupaient les douze coups en étaient pour dormir ailleurs que chez eux . Nous, nous habitions au Derb SQUAIA à RIAD ZITOUN KEDIM et l'autre bout de la rue débouchait vers les immeubles TAZI sur la rue BAB AGNAOU.
Je pense que Mangin de Marrakech aimerait avoir des photos de toutes ces artères marrakchies.
Voila, mon courage s'arrête là pour ce soir... Je vous parlerais de mes élucubrations philosophiques dans un prochain article. Bon début de semaine pour les "ceusses" qui iront travailler demain matin et mes amitiés à vous tous. Votre toujours Michel